Quelle gentille famille accepterait de donner asile à trois garçons chassés de chez eux par une armée de femmes déchaînées ?
La cinquantaine, polis, bien élevés, habitués à la vie en communautés, ils ne demandent pas grand chose : juste une soirée dans un foyer chaleureux, quelques heures de détente au calme...
S'il vous plaît, que quelqu'un ait pitié d'eux, pauvres hommes qui risquent de devoir subir une démonstration de bougies parfumées organisée par notre éducateur national !...
Vous, qui comprenez leur douleur, ouvrez-leur votre porte, et vous gagnerez de leur part une reconnaissance éternelle !
Merci de tout coeur à ce bon samaritain qui va s'annoncer jusqu'à demain soir, 17h00