Famille Davy : John Wesley Crockett : 10 juillet 1807 / 1984

Eh bien boujour à toutes et tous, c'est un plaisir de vous rencontrer, et de pouvoir me présenter.

                            John Wesley Crockett...

Oui, fils de... et aîné du clan, ici à 13 ans...

12 ans plus tard, j'ai grandi, je suis allé à l'école communale, puis des études de droit... et Jarod m'a pris avec lui pour travailler...

Je me suis marié à la plus adorable femme de la terre : Martha Hamilton, qui m'a fait le bonheur de me donner déjà 2 enfants magnifique :
Mary Elisabeth (du nom de mes deux mamans), le 3 mai 1830 (2007) et Robert Henry, le 15 février 1832 (2009). Mais ce n'est pas fini, en voyant le résultat, on n'a pas l'intention de s'arrêter là !

Sinon, de quoi pourrais-je parler pour compléter le portrait ? Il y aurait tant à dire... et si peu d'important en même temps...

Quel effet ça fait d'être le fils du grand Davy Crockett ? Honnêtement, rien de spécial. Tout le monde le prend pour un héros... mais c'est un père normal, avec ses coups de gueule et ses moments de délire... et ses innombrables copains.

C'est vrai, il n'est pas très souvent là. Après la guerre contre les Creeks, il s'est lancé dans la politique, et de ce fait, il court la campagne (dans tous les sens du terme) 9 mois sur 12...

Pour ça, on a eu de la chance d'avoir l'équipe tout à côté de la maison. Maman appréciait beaucoup d'avoir les hommes pour couper son bois et nous faire obéir, surtout les derniers temps, quand elle était tout le temps fatiguée. Et Elisabeth aussi, fait appel à ceux du ranch pour les corvées pénibles... Notez bien, ils lui doivent bien ça, puisqu'elle leur sert de femme de ménage...

Mais il ne faut pas croire, je ne reproche rien à papa. Il fait sa vie, il joue un grand rôle dans la construction de notre pays... J'aimerais marcher dans ses traces, suivre son exemple et défendre aussi l'intérêt de mes concitoyens à la capitale...

Enfin quand je dis "j'aimerais", c'est une chose dont on a longuement parlé avec ma femme, et elle me pousse à marcher dans ses traces.

C'est pour ça qu'on a pris la décision de partir pour l'est au printemps. Martha ne veut pas être comme Elisabeth, et passer son temps à attendre son mari pour le voir 2 semaines par ans. Elle veut être près de moi, et me seconder...

Bien sûr, on a conscience que ce ne sera pas facile, même si Polly et Wiley ont déjà préparé le terrain, et sont tout fou de savoir qu'on va les rejoindre. Mais on est courageux, il y a tout un monde à bâtir là-bas, c'est un défi passionnant. Et peut-être que les hommes nous donneront un appareil pour pouvoir rester en contact avec Maman et le reste de la famille...

Sur ce, maintenant que la bombe est lancée, je vous laisse la digérer. A une prochaine tout le monde